« L’approche actionnelle au service de l’autonomie langagière » Cas d’étude : Les apprenants de première année secondaire
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University of Tlemcen
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Apprendre et enseigner une langue sont deux démarches complémentaires et
interactives.
« Apprendre une langue étrangère ne s’arrête plus au vocabulaire et aux structures
syntaxiques… mais continue vers le savoir communiquer dans la vie quotidienne, cela devrait
être l’objet de l’enseignement/apprentissage du FLE1» (Tréville, 2000 : 9).
Enseigner une langue seconde ou étrangère signifie la nécessité de développer l’habilité
à communiquer, mais cette enseignement doit être bien élaboré afin d’avoir des apprenants
qui communiquent correctement en français. Car l’apprentissage de cette langue depuis
l’enfance c’est le développement de l’imagination, des gouts, de la communication et de la
découverte .C’est pour cela, la didactique nouvelle tente de mettre d’avantage l’apprentissage
au centre des préoccupations de l’enseignant, dont les activités visent à gérer et à faciliter les
tâches d’appropriation de l’apprenant et de le rendre de plus en plus autonome dans sa
capacité à produire une langue étrangère.
Nous allons nous interrogeons sur l’approche actionnelle comme un outil qui pourrait
stimuler l’autonomie chez les apprenants dans une classe de langue, cela sera notre souci dans
ce travail de recherche.
Notre recherche s’inscrit dans la perspective didactique dont l’intitulé est : « l’approche
actionnelle au service de l’autonomie langagière » .Cas des apprenants de la première année
secondaire.
Ce qui motivé notre choix, c’est de voir certains apprenants qui ont du mal à prendre la
parole donc nous pensons qu’un travail d’appropriation et d’acquisition doit se faire en amant
(avant d’arriver à l’université).