Étude rétrospective comparative entre hystérectomie par voie haute et voie basse

dc.contributor.authorMOUSSA, Kouideren_US
dc.contributor.authorBELAIDOUNI, Sobhiyaen_US
dc.date.accessioned2020-12-17T12:13:45Zen_US
dc.date.available2020-12-17T12:13:45Zen_US
dc.date.issued2019en_US
dc.description.abstractDévelopper sa réalisation par voie vaginale, associée ou non à une assistance coelioscopique. Cependant, il reste encore des indications d’hystérectomies abdominales initiales qui semblent incontournables et indispensables. La voie abdominale était choisie pour nous devant l’existence de: Volume utérin important qui représente pour nous la principale indication de choix de la voie haute. Antécédents chirurgicaux adhésiogènes. Mauvais accès vaginal. Décision d’une annexectomie. En plus les critères de choix précédemment cités, le choix d’une voie d’abord dépend en grande partie de la formation et de l’expérience de l’opérateur, de l’indication de l’intervention, de la nature de la maladie et des caractéristiques de la patiente. Notre choix préférable de l’hystérectomie totale ainsi que l’annexectomie associée semble être compatible avec les données de toutes les séries pour prévention De cancer sur col restant et de cancer de l’ovaire vu sa manifestation tardive à un stade évolué. Les données opératoires et les complications per et postopératoires étaient très diminuées par rapport à la littérature. Si l’hystérectomie est faite dans un contexte de troubles organiques indiscutables, elle fait disparaître les symptômes et améliore la qualité de vie. À l’inverse, une mauvaise indication en particulier pour algies pelviennes associées à des troubles anxieux, Ou à des antécédents de dépression expose aux risques de décompensation post opératoire. C’est dans ces situations qu’il faut compléter le bilan organique et psychologique préopératoire. L’information préopératoire est orientée aujourd’hui sur le risque médico-légal, avec son cortège de complications dont la liste n’est jamais exhaustive, mais toujours suffisante pour aggraver L’angoisse. L’information anatomique et physiologique doit être appropriée à chaque patiente. Si la plupart des femmes conceptualisent bien l’hystérectomie par voie abdominale, dans un imaginaire forcément violent, mais « classique» de la chirurgie, c’est autre chose pour la chirurgie vaginale ou coelioscopique. Les suites sont a priori meilleures, mais pour certaines patientes l’organe disparaît trop vite ou trop simplement pour arriver à en faire le deuil. Il peut rester un fantasme de perméabilité du corps, d’instabilité des organes. Quelques mots associés à un schéma explicite suffisent souvent, mais ils sont nécessaires avant et non après l’intervention. L’intégrité corporelle imaginaire passe parfois par la conservation du col : il faut savoir écouter avant de décider avec et pas pour la patiente ou pour la technique opératoire. Le suivi postopératoire doit être assuré par le chirurgien lui-même pour compléter l’information, rassurer, accompagner. Ces quelques conseils simples peuvent mini miser les risques de décompensation psychique postopératoire.
dc.identifier.urihttps://dspace.univ-tlemcen.dz/handle/112/15964en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversity of Tlemcen
dc.titleÉtude rétrospective comparative entre hystérectomie par voie haute et voie basseen_US
dc.typeThesisen_US

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