The effect of the discharged wastewater from Tlemcen’s university hospital on multi-drug resistance bacteria

Abstract

Les hôpitaux rejettent des quantités importantes d'eaux usées et de déchets biomédicaux , qui hébergent un large éventail de contaminants qui représentent un risque chimique, biologique et physique pour la santé publique et environnementale s'ils ne sont pas traités. Les eaux de rejets hospitalière peut agir comme un milieu de croissance idéal pour divers pathogènes. Les eaux usées des hôpitaux sont également constituées de plusieurs bactéries résistantes et de résidus d'antibiotiques, qui pourraient inhiber la croissance de bactéries sensibles, augmentant ainsi la population de bactéries résistantes dans les eaux réceptrices. L'émergence rapide de bactéries résistantes se produit dans le monde entier, l'une des résistances multidrogues les plus critiques est due à agents pathogènes ESKAPE (Enterococcus faecium, Staphylococcus aureus, Klebsiella pneumoniae, Acinetobacter baumannii, Pseudomonas aeruginosa et les espèces des Enterobacter) résistants aux antimicrobiens qui représentent une menace mondiale pour la santé humaine. L'acquisition de gènes de résistance aux antimicrobiens par les agents pathogènes ESKAPE a réduit les options de traitement pour les infections graves, augmenté le fardeau de la maladie et augmenté les taux de mortalité dus à l'échec du traitement et nécessite une réponse mondiale coordonnée pour la surveillance de la résistance aux antimicrobiens. Dans ce contexte, une étude approfondie de la littérature a été réalisée pour révéler les implications négatives des déchets hospitaliers non traités et définir les bonnes façons de les gérer. Les méthodes de traitement conventionnelles ne peuvent éliminer que 50 % à 70 % des contaminants émergents (CE) présents dans les les eaux de rejets hospitalières . Pourtant, de nombreux pays n'ont pas mis en Conclusion p. 56 œuvre de méthodes de traitement appropriées pour traiter les déchets in situ. Cette revue présente un aperçu de la gestion mondiale des HWW et met en évidence les différentes techniques de traitement pour éliminer efficacement les CE . En conclusion, combinés à des procédés d'oxydation avancés, les procédés de traitement biologique ou physique pourraient éliminer environ 90 % des polluants.