L’expression de la douleur dans «Puisque mon cœur est mort » De Maïssa Bey
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Dés le départ de notre parcours universitaire, notre intérêt était très grand pour la
littérature maghrébine d’expression française, et plus particulièrement la littérature
algérienne.
Cette littérature algérienne d’expression française, manifeste un esprit profondément
imprégné par les différents axes historiques et culturels ; de la période coloniale,
jusqu’à nos jours. Ce riche répertoire historique, ne cesse de s’amplifier, et vient
s’incarner dans les œuvres littéraires.
La littérature se vêtit d’un caractère ouvert du genre romanesque, accueillant plusieurs
possibilités discursives et narratives, marquant ainsi une évolution des techniques
d’écritures ; esthétiquement et idéologiquement parlant.
Dans cette optique, une littérature exclusivement féminine a vu le jour. Honorée par de
grandes écrivaines, tel Assia Djebar, Malika Mokkadem, Fatima Bekhay, Maïssa
Bey…
Cette dernière est l’une des femmes qui ont su et pu révéler au grand jour les maux et
les souffrances de la société, plus précisément des femmes. Longtemps dissimulés
derrières les parois du silence et de la peur. Les horreurs d’une réalité amère dû à la
période sanglante qu’à connu l’Algérie.