Déshydratation aigue de nourrisson
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University of Tlemcen
Abstract
Notre étude a fini pour conclure les point s suivants:
Nous avons remarqué selon notre étude faite sur 130 cas que la
déshydratation aigue est beaucoup plus fréquente chez les garçons que les filles
le taux de la déshydratation aigue est presque le même dans les régions et
urbains avec une légère prédominance urbain par un pourcentage de 57%
les nourrissons qui ont bénéficié d'un allaitement artificiel sont les plus à
risque de se déshydrater (avec un pourcentage de 46%), que les autres
nourrissons qui ont bénéficié d'un allaitement maternel ou mixte
en ce qui concerne le degré de la déshydratation notre à objectiver que le
taux d'hospitalisation des déshydratations jugé à 10% est plus important que
celle jugé a 5% alors que cette dernière est plus fréquente et elle
généralement traiter en ambulatoire
Notre étude à bien montré que la cause la plus incriminer c'est GEA avec une
fréquence de 73% alors que tout les autres cas rassemblés ne représentent
que 27%
la déshydratation aigue est plus fréquente en saison chaude (été) à46% et
contraire elle mois fréquente en hiver 14% tandis qu'en automne et en
printemps sa fréquence reste limiter entre les deux chiffres déjà citer.
' Notre étude a montre que la quasi-totalité des déshydratations aigue été de
type extracellulaire avec un pourcentage de 93%
La diversification tardive c'est facteur de risque de déshydratation
• Notre statistique a montré que sur 130 cas de déshydratation aigue
hospitaliser juste 39 cas (30%) Seulement un ionogramme a été fait avant la
réhydratation bien que sur ces 30% qui ont bénéficié d'un ionogramme
77%des cas été jugé 10%, à vrai dire comme le révèle le graphe précédant
l'ionogramme à été fait beaucoup plus pour les déshydratations jugé a 10%
que pour celle jugé à 5%.sur ces 130 cas de déshydratation aigue hospitaliser juste 39 cas (30%)
Seulement un ionogramme a été fait avant la réhydratation bien que sur ces
30% qui ont bénéficié d'un ionogramme 77%des cas été jugé 10%, à vrai dire
comme le révèle le graphe précédant l'ionogramme à été fait beaucoup plus
pour les déshydratations jugé a 10% que pour celle jugé à 5%
Nous avons constaté aussi que la fréquence des déshydratations avec une
kaliémie normale été plus élevée que celle avec une dyskaliemie bien que le
taux de l'hypokaliémie (23%) est à peut prés le même que celle de
hyperkaliémie (21%)
En conclusion on peut dire que la variation la natrémie est plus précoce que
celle de la kaliémie.
Alors selon cette étude on conclu que juste 10% des nourrissons avez
glycémie normale <0,5g/1
Tandis que 90%restants avez tous une hyperglycémie à noter que une
glycémie >àlg/l été observé chez 20% des nourrissons
• Une autre étude faite sur les 68 cas ou urémie a été fait à bien montrer que
la déshydratation n'a donné lieu au retentissement rénal que chez un quart
des cas
En fin notre étude regard a été fixée sur l'évolution, ou les statistiques ont
montré que seulement chez 4% des cas la déshydratation ont pu être
mortelle.
• Tandis que %des cas décidé la déshydratation a été survenu sur un terrain
déjà compliqué de d'autres pathologies associe