INTERET DE L'ANTIFONGIGRAMME DANS LE TRAITEMENT DES MYCOSES SUPERFICIELLES ET PROFONDES

dc.contributor.authorHadji, Abdelhamiden_US
dc.contributor.authorBenabderrahmane, Abdelhalimen_US
dc.contributor.authorHanafi, Mohameden_US
dc.date.accessioned2014-01-20T10:16:44Zen_US
dc.date.available2014-01-20T10:16:44Zen_US
dc.date.issued2013en_US
dc.description.abstractAu cours de ces vingt dernières années, il a été observé une très nette augmentation du nombre d'infections nosocomiales dues aux champignons pathogènes, notamment aux levures du genre Candida responsables chez l'homme de candidoses. Si Candida albicans reste le principal agent responsable des candidoses (50 à 70 % des infections), on constate l'émergence d'espèces non-albicans qui sont souvent plus réfractaires aux traitements classiques, telles que C. glabrata, C. tropicalis, C. parapsilosis. C. krusei et C. lusiianiae. Ces pathologies sont en forte recrudescence, en raison de trois principaux facteurs - un accroissement du nombre de patients immunodéprimés dans la population, qui correspond à une large utilisation de traitements chimiothérapeutiques toxiques, d'immunosuppresseurs dans le cas des transplantés, d'antibiotiques à large spectre, et qui correspond également à l'augmentation de patients atteints du SIDA; - une prise en compte plus juste des infections fongiques profondes ou superficielles notamment grâce à l'évolution des méthodes diagnostiques; - une émergence de plus en plus fréquente des souches résistantes aux traitements antifongiques.L'antifongigramme a pour but de déterminer la Concentration Minimum Inhibitrice (CMI) d'une souche fongique vis-à-vis de divers antifongiques. Par définition, la CMI est la plus faible concentration d'antifongique capable de provoquer une inhibition complète de la croissance d'une souche donnée après une certaine période d'incubation. La fiabilité d'un antifongigramme est influencée par de nombreux paramètres qui doivent être rigoureusement contrôlés. Dans le traitement d'une candidose, le rôle du biologiste est d'isoler et d'identifier la souche impliquée puis de déterminer in vitro, à l'aide de tests standardisés et reproductibles, l'activité de divers antifongiques.Les laboratoires doivent rendre, le plus rapidement possible, des résultats explicites et sélectifs afin que le clinicien puisse proposer des stratégies thérapeutiques adaptées, en tenant compte en particulier des indications de résistance mesurées in vitro. Dans ce contexte, cette formation a pour but de familiariser les biologistes avec quelques techniques commerciales employées en milieu hospitalier et en laboratoire d'analyses pour déterminer la sensibilité des levures du genre Candida aux antifongiques. Cette formation permettra de comparer ces différentes techniques en termes de rapidité de mise en oeuvre, de fiabilité et de reproductibilité des résultats, de facilité d'interprétation dans le contexte thérapeutique actuel et de coût de revienten_US
dc.identifier.urihttps://dspace.univ-tlemcen.dz/handle/112/3406en_US
dc.language.isofren_US
dc.subjectL'ANTIFONGIGRAMME,en_US
dc.subjectMYCOSES SUPERFICIELLESen_US
dc.titleINTERET DE L'ANTIFONGIGRAMME DANS LE TRAITEMENT DES MYCOSES SUPERFICIELLES ET PROFONDESen_US
dc.typeThesisen_US

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