The Effect of Social Media Language on EFL Students’ Academic Writing: Case of Second-year License English Students at Tlemcen University

Abstract

Une nouvelle méthode de communication qui a un effet sur la vie des gens dans de nombreux aspects, y compris l'éducation, a été créée. À cet égard, les étudiants utilisent les plateformes de médias sociaux pour communiquer et interagir avec le monde principalement par l'écriture, qui est, à tous les niveaux d'enseignement, considérée comme plus compliquée que les autres compétences linguistiques. Cependant, lorsqu'ils envoient des SMS sur ces sites Web, les étudiants sont susceptibles d'utiliser un langage informel pour faciliter leurs messages écrits ainsi que pour éviter les structures de phrases longues et complexes. Par conséquent, les étudiants se sont adaptés à cette habitude avec de chances de l'utiliser dans l'écriture académique. Par conséquent, l'objectif de cette investigation est de déterminer le type d'impact que l'argot Internet a sur les étudiants EFL de l'Université de Tlemcen et s'ils l'utilisent dans leurs écrits académiques. L'enquête a été menée dans les classes de deuxième année de licence. Il a supposé une conception de recherche à méthodes mixtes et a recueilli des données via des questionnaires numériques pour les étudiants et des questionnaires imprimés pour les enseignants. Les données obtenues ont été analysées et présentées en détail. Les résultats ont indiqué que les étudiants, en particulier ceux de deuxième année Licence, ont un grand intérêt à se connecter quotidiennement à Internet. De plus, bien qu'une influence négative du langage des médias sociaux ait été confirmée, les effets positifs sont également significatifs. De plus, la plupart des enseignants de deuxième année qui ont participé à notre enquête ont corroboré l'affirmation des étudiants selon laquelle la majorité n’utilise pas le langage textuel dans leurs devoirs écrits et leurs cours. Sur la base des réponses des répondants, certaines recommandations ont été suggérées pour réduire la possibilité d'intégrer l'argot Internet dans la rédaction académique