ANALYSE temporelle et fréquentielle des différentes ondes du signal ECG en vue d'une reconnaissance de signatures de pathologies cardiaques.
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Dans la dernière partie de ce travail, les contractions auriculaires prématurées et le rythme junctional
accéléré ont été étudiés à travers la variabilité de l'intervalle PQ. D'après les résultats obtenus, nous avons
constaté que la variabilité de l'intervalle PQ dans ces deux derniers cas est faible. Le paramètre MEANP_T a
diminué dans le cas des PAC ce qui implique que le temps entre la repolarisation des ventricules et la
dépolarisation des oreillettes est court. Par contre, ce paramètre augmente dans le cas du rythme junctional
accéléré mous amène à conclure que le temps entre la repolarisation ventriculaire et la dépolarisation
auriculaire est plus long par rapport au cas normal. L'analyse fréquentielle de l'intervalle PQ a montré que les
influx nerveux diminuent dans le cas des contractions auriculaire prématurées et aussi dans le cas d'un
rythme junctional accéléré.
Ces études qui ont été faites peuvent être améliorées tout en passant à une analyse temps-fréquence de ces
intervalles. Ceci peu être nous va permettre de mieux comprendre les effets nerveux sur les différentes
parties du coeur tout en indiquant les instants de l'apparition de ces effets.
En plus, nous souhaitons compléter ce travail en examinant la corrélation entre les variabilités de ces
intervalles en vue toujours d'une reconnaissance de signatures de pathologies cardiaques