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Titre: De temoignaabsance de lumière" de tahar ben jalloul,étude sociocritiques
Auteur(s): CHIHA, SAMIA
Mots-clés: Du témoignage à la fiction dans le roman " cette aveuglante absancede lumière" de tahar ben jelloun ,étude sociocritique
Date de publication: 2-fév-2014
Editeur: University of Tlemcen
Résumé: Connu par ses écrits audacieux qui soulèvent des réticences et provoquent de l’incertitude chez le lecteur, Tahar Ben Jelloun est sans doute l’écrivain marocain le plus célèbre aussi bien en Europe qu’au Maghreb. Ses débuts marqués par le journalisme et sa formation philosophique ont aussi contribué à la complexité de ses oeuvres où il exprime ses opinions et fait valoir sa formation en psychiatrie sociale. Ses écrits qui dérangent par ses modalités et ses thèmes privilégiés, mettent en scène des sujets tabous et des êtres exclus de la parole, réclamant un écrivain témoin de son époque, idéologiquement "engagé" et doté d’une réflexion moderne sur la littérature. D’habitude, l’oeuvre de Ben Jelloun verse dans le conte, la légende et les mythes ancestraux… nous citons à titre d’exemple : « Moha le fou, Moha le sage », « L’enfant de sable » et « La Nuit sacrée » (qui a obtenu le prix Goncourt en 1987), où nous assistons le plus souvent à des figures livrées à l’enfance saccagée, l’immigration, la sexualité ou le statut de la femme. Cependant, ce n’est pas le cas de notre objet d’étude « Cette aveuglante absence de lumière » où l’auteur relate sur deux-cent vingt-neuf pages, le vécu d’un autre monde oublié au coeur des ténèbres et que nous sommes pris par la curiosité de le découvrir. Il s’agit d’une expérience réelle qui s’est passée au Maroc, signée par Le dix juillet 1971 quand des soldats marocains investissent le palais de Skhirate et tentent de reverser le pouvoir du roi Hassan II. Le coup d’état échoue. Le roi échappe par miracle à l’attentat et décide de faire subir aux rebelles un châtiment exemplaire. Cinquante-huit soldats seront « oubliés », déportés en plein désert, au bagne de Tazmamart (au sud du Maroc). C’est ainsi que commence l’histoire de vingt-trois hommes qui se trouvent à la section "B" de la prison. Ils seront cachés du monde et de la lumière du jour, dans des cellules souterraines, avec juste ce qu’il faut de pain sec, d’eau poisseuse, de fécule et d’oxygène ; ne pouvant se déplacer qu’en position accroupie. Pris au piège du délire
URI/URL: http://dspace.univ-tlemcen.dz/handle/112/3612
Collection(s) :Magister en Français

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