Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : http://dspace1.univ-tlemcen.dz/handle/112/19937
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dc.contributor.authorBendouma, Radhia-
dc.date.accessioned2023-02-20T09:37:43Z-
dc.date.available2023-02-20T09:37:43Z-
dc.date.issued2023-02-20-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-tlemcen.dz/handle/112/19937-
dc.description.abstractLa migration des Algériens durant les années 2000 a pris plusieurs formes. Ce n’est plus seulement en France qui attire les jeunes Algériens, mais plusieurs pays voire plusieurs continents. L’année 2018 s’achève par un triste bilan : des centaines de personnes ont rejoint les côtés italiennes ou espagnoles, et on compte de nombreux morts ou disparus. Le chômage la misère, l’ennui, l’illettrisme, le fanatisme religieux, sont des facteurs déterminants dans l’aggravation de phénomène de l’immigration clandestine. Ainsi nous pouvons dire que le phénomène migratoire des harraga est devenu du point de vue littéraire, une thématique présente de façon récurrente. Non seulement les écrivains sont animés par un devoir de rendre compte de la réalité de été tragédie mais aussi et il faut l’avouer, beaucoup sont eux-mêmes concernés par l’immigration.en_US
dc.language.isofren_US
dc.subjectLa migration des Algériens - harraga- l’immigration clandestine.en_US
dc.titleEtude paratextuels, la narratologie dans les « les fleuves impossibles » de AkremEl-kébir.en_US
dc.typeThesisen_US
Collection(s) :Master en Français

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