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http://dspace1.univ-tlemcen.dz/handle/112/1986
Titre: | Contribution à une étude phytoécologiques des groupements à Tetraclinis articulata du littoral de Honaine (Algérie occidentale). |
Auteur(s): | CHERIF, ISMAHENE |
Mots-clés: | Échantillonnage Tetraclinis articulata Phytoécologie Botanique Tlemcen Oranie Algérie |
Date de publication: | 2012 |
Résumé: | La zone sur laquelle porte notre contribution est localisées dans la partie occidentale du Nord-Ouest Algérien, elle fait partie intégrante des monts des Traras. Cette étude est consacrée à l’analyse phytoécologique des groupements à Tetraclinis articulata du littoral de Honaine. L’étude bioclimatique a révélé un décalage de certaines stations météorologiques, vers des ambiances plus sèches sur le climagramme pluviothermique d’Emberger, témoignant ainsi une tendance générale à l’aridité. L’utilisation abusive des formations végétales, par l’homme et ses troupeaux, conduit, selon la qualité des conditions édapho-climatiques, à différents stades de dégradation allant de la simple altération partielle de la composition floristique à une perturbation totale. Nous avons pu décrire une liste de 14 espèces dites caractéristiques du Tetraclinis articulata ou encore les espèces qui constituent les groupements de cette dernière. Parmi eux nous avons cinq espèces fréquentes, ou espèces constantes : Lavandula dentata 60 %, Clycotome intermedia 58 %, Pistacia letiscus 50 %, Globularia alypum 44%, Cistus monspeliensis 44%. Parmi les espèces caractéristiques du Tetraclinis articulata, il y a des espèces rares dont la fréquence ne dépassant pas les 40%, parmi eux : Ulex europeus 38 %, Phyllirea angustifolia 28 %, Chamaerops humilis 32 %, Helianthemum pilosum 22 %, Urginea maritime et Asteriscus maritimus 36 %, Ampelodesma mauritanicum 26 %, Schismus barbatus 35 %. L’espèce la plus rare est Vicia villosa avec 6 %. L’analyse factorielle des correspondances nous a permis une étude globale très synthétique des données, et de traiter conjointement les variables floristiques et écologiques. Nous avons conclu après cette analyse que le passage d’un groupement à un autre répond au déclenchement des processus de désertification dont les modalités diffèrent ; allant de la dématorralisation jusqu'à la thérophytisation. |
URI/URL: | http://dspace.univ-tlemcen.dz/handle/112/1986 |
Collection(s) : | Magister en Ecologie et Environnement |
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