Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : http://dspace1.univ-tlemcen.dz/handle/112/4893
Affichage complet
Élément Dublin CoreValeurLangue
dc.contributor.authorHA MZAOUI, ABDELGHANI-
dc.contributor.authorDJEMAI, WALID-
dc.date.accessioned2014-05-05T09:06:42Z-
dc.date.available2014-05-05T09:06:42Z-
dc.date.issued2011-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-tlemcen.dz/handle/112/4893-
dc.description.abstractAu terme de ce travail on note que la pathologie scrotale reste l'un des motifs de consultations les plus fréquents en urologie avec une nette prédominance de varicocèle 38%, et l'hydrocèle 34,5%. En vue de l'installation insidieuse de la symptomatologie le diagnostique est porté dans la plupart des cas par la radiologie 90% (échographie scrotale). Une fois le diagnostique est établie la prise en charge chirurgicale est la conduite classique. L'installation selon un mode aigue de la symptomatologie reste rare en matière des pathologies scrotales (18%) mais la prise en charge doit être rapide, et en doit toujours éliminer en premier plan le diagnostic de torsion testiculaire, qui nécessite un traitement chirurgical dans un délai de 6 heurs. Donc au total les pathologies scrotales doivent être diagnostiquées et traitées correctement par tout médecin surtout à un stade aigue pour éviter le plus tôt possible les différentes complications où la pathologie deviendra insupportable par le patient sur le plan personnel professionnel et même social.en_US
dc.language.isofren_US
dc.titlepathologies genitaux scrotaleen_US
dc.typeThesisen_US
Collection(s) :Rapport du Stage Médecine

Fichier(s) constituant ce document :
Fichier Description TailleFormat 
pathologies-genitaux-scrotale.pdf54,1 MBAdobe PDFVoir/Ouvrir


Tous les documents dans DSpace sont protégés par copyright, avec tous droits réservés.