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dc.contributor.authorKORAIB, Hafsa-
dc.contributor.authorLOUZIM, Habiba-
dc.contributor.authorKHIAL, Djamal-Eddine-
dc.date.accessioned2014-04-09T09:36:48Z-
dc.date.available2014-04-09T09:36:48Z-
dc.date.issued2012-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-tlemcen.dz/handle/112/4675-
dc.description.abstractLes infections du tractus urinaires (ITU) constituent un motif fréquent de consultation et de prescription médicale en pratique courante. En effet, en plus des infections urinaires gravidiques et nosocomiales, les voies urinaires représentent le second site d'infections communautaires après l'appareil respiratoire. Ayant une relation étroite avec l'âge, le sexe et la présence simultanée de pathologies diminuant les défenses immunitaires, et suivant les caractères qui définissent le pouvoir pathogène des germes responsables, les ITU sont représentées essentiellement par les cystites et les pyélonéphrites qui peuvent tous les 2 être simples ou compliquées. La colonisation des voies urinaires et la récidivité sont d'une fréquence importante chez la femme, aggravées par les variations physiologiques et hormonales qu'engendrent la grossesse et la ménopause. Etant facile et orientant, le diagnostic des ITU sous toutes leurs formes commence le plus souvent par le test aux bandelettes réactives, permettant de déterminer la nécessite ou non de la réalisation de l'examen cytobactériologique des urines (ECBU). De ce fait, ECBU est l'examen microbiologique le plus demandé en ville. Il permet le diagnostic de certitude des ITU en isolant le micro-organisme responsable et en déterminant ces caractères biochimiques et sa sensibilité aux antibiotiques. Théoriquement, du fait que l'urine est normalement stérile,son interprétation est facile, mais en pratique, le résultat repose sur la combinaison de plusieurs paramètres d'où la nécessité d'une rigueur absolue dans les différentes étapes de sa réalisation, commençant par le prélèvement qui est le plus sujet à l'erreur sans oubliant l'antibiogramme. Les conditions du prélèvement, la standardisation des méthodes diagnostiques utilisées et la réalisation de la lecture interprétative par du personnel expérimenté conditionnent la fiabilité des résultats qui, eux, orientent le choix du traitement. Suivant le type d'atteinte et les facteurs de risques associés, le traitement repose essentiellement sur l'antibiothérapie. Une variété de molécules est utilisée dont la durée du traitement et les modalités d'administration de diffèrent. Dans le but d'avoir un bon pronostic, et pour éviter les récidives, l'association au traitement de mesures d'hygiène et de prévention tel l'hydratation suffisante et la miction fréquente donnent de meilleurs résultats.en_US
dc.language.isofren_US
dc.titleLes infections urinaires chez la femmeen_US
dc.typeThesisen_US
Collection(s) :Rapport du Stage Médecine

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