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dc.contributor.authorBENHAMMOU, GHALIA-
dc.date.accessioned2014-02-04T10:24:20Z-
dc.date.available2014-02-04T10:24:20Z-
dc.date.issued2010-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-tlemcen.dz/handle/112/3715-
dc.description.abstractEn absence d'étude contrôlée, les aspects thérapeutiques du « neuro —lupus »demeurent largement basés sur l'empirisme et l'expérience à la différence des atteintes rénales de la maladie Les manifestations centrales diffuses symptomatiques imposent une corticothérapie. celle ci est souvent entreprise sous la forme de bollus de méthylprednisolone, le relais étant assuré par la prednisone orale à la dose quotidienne de lmg /kg.un traitement immunosuppresseur est parfois associé, soit d'emblée en raison de la gravité du tableau, soit secondairement en cas de corticorésistance .le choix se porte généralement sur le cyclophosphamide (intraveineux ou orale)ou sur l'azathioprine, la durée du traitement immunosuppresseur variant de G à24 mois. ultérieurement, la corticothérapie est maintenue pendant de nombreuses année ,son arrêt éventuel se discutant au cas par cas selon la sévérité du tableau initiale et le contrôle du LES dont l'activité s'atténue le plus souvent avec la ménopause. Le traitement des manifestations psychiatriques est conditionné par leur mécanisme présumé.la résolution des troubles liés au LES est généralement obtenue par la corticothérapie, souvent associée aux immunosuppresseur voire aux échanges plasmatiques dont l'efficacité est parfois spectaculaire. les comportements d'agitation peuvent justifier transitoirement un traitement psychotrope (anxiolytiques, neuroleptiques). les manifestations graves imputables aux corticoïdes imposent une réduction immédiate de leur posologie ,généralement composée par l'adjonction d'un immunosuppresseur visant à contrôler l'activité du LES .les troubles psychiatriques réactionnels sont en général pris en charge comme pour toute maladies chronique par l'association d'une psychothérapie et /ou de psychotropes. l'emploi de la carbamazépine est o évité en raison du risque théorique d'aggravation du LES et de ses nombreuses interactions médicamenteuses, notamment augmentation du métabolisme hépatique des corticoïdes. Le traitement de la comitialité est mal codifié. une comitialité épisodique survenant en l'absence d'autre manifestations neurologique n'impose pas le recours à la corticothérapie Je choix du traitement symptomatique doit prendre en compte le risque d'accentuation de lupus, et l'effet inducteur enzymatique de phénobarbital Les manifestations focales ischémiques associées à la présence d'APL justifient une anticoagulation au très long cours. Enfin, aucun consensus n'existe pour le traitement de la chorée .une association de corticoïdes et de l'aspirine est généralement employée en complément de traitement symptomatique. Dans tous les cas, l'éducation des malades revet une importance majeure, concernant en particulier la compliance, la photo protection et le choix d'une contraception adaptée excluant les oest roprogestat ifs En conclusion, le « neuro-lupus »constitue un cadre extrêmement hétérogène. Bien que sa physiopathologie ne soit que partiellement élucidée, les traitements actuels se révèlent souvent efficace.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversity of Tlemcen-
dc.subjectneuropsychyatique,en_US
dc.subjectérytémateux disséminéen_US
dc.titleLes manifestations neuropsychyatique de lupus erythemateux dissemineen_US
dc.typeThesisen_US
Collection(s) :Rapport du Stage Médecine

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