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dc.contributor.authorBENAISSA Abdelkarim-
dc.date.accessioned2013-12-04T08:47:33Z-
dc.date.available2013-12-04T08:47:33Z-
dc.date.issued2013-12-04-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-tlemcen.dz/handle/112/3094-
dc.description.abstractDans la contrée des béni- snous, sont célébrées chaque année les festivités de Yennayer berbère: Yen : signifie le premier jour et ayer : nouvelle année, chapeauté par le carnaval d’Ayred (lion). Il s’agit de la célébration de la saison agraire berbère. Donc ennayer marque un passage entre la compagne de fenaison agraire et l’avènement de l’année nouvelle berbère. Mais le seul phénomène culturel spécifique demeure dans la manière d’organisation et la démarche messagère contenue dans le rôle même de la dramaturgie du carnaval d’Ayred à béni- snous. Pour schématiser donc le carnaval d’Ayred, j’ai constaté une analogie déontologique entre le jeu, la plasticité, le gestuel, le masque... dans l’Ayred, et le jeu théâtral proprement dit dans la scène aristotélicienne.en_US
dc.language.isootheren_US
dc.relation.ispartofseriesجامعة تلمسان;-
dc.subjectThéâtreen_US
dc.subjectthéâtralisationen_US
dc.subjectfestivitéen_US
dc.titleمسرح آيراد الإحتفاليen_US
dc.typeOtheren_US
Collection(s) :Doctorat en Culture Populaire

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