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dc.contributor.authorMESLI, Naïma-
dc.date.accessioned2013-12-02T10:32:32Z-
dc.date.available2013-12-02T10:32:32Z-
dc.date.issued2006-09-10-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-tlemcen.dz/handle/112/3051-
dc.description.abstractLa prise en charge des LNH à grandes cellules en rechute ou réfractaires après chimiothérapie de première ligne (CHOP) pose un sérieux problème puisqu'on sait que toutes les études prospectives pratiquées, montrent que le pronostic des malades traités pour LNH agressifs non mis en rémission complète est particulièrement défavorable. Les seuls résultats notables de traitement de rattrapage viennent de séries utilisant une chimiothérapie à fortes doses suivie d'autogreffe. Cette modalité thérapeutique doit donc être systématiquement envisagée en cas de résistance primaire ou de rechute, cependant elle ne peut être réalisée chez tous les patients pour plusieurs raisons : lorsqu'il existe une contre-indication (âge > 60 ans) et elle ne peut pas se faire dans tous les centres d'hématologie du pays (Algérie). Nous avons donc conçu cette étude randomisée en simple aveugle afin de comparer deux protocoles qui sont l'ESAP : et le GPD. Malgré sa proche parenté chimique avec l'aracytine, la gemcitabine a d'abord été étudiée dans le traitement des tumeurs solides, cependant, des études récentes effectuées chez des patients atteints d'hémopathie maligne suggèrent que cette molécule est dotée d'activité thérapeutique intéressante chez des patients atteints de LNH agressif. 100 patients ont été inclus dont 4 ont été éliminés des la première cure pour intolérance à la chimiothérapie. 48 malades dans le groupe A recevant l'ESAP et 48 malades dans le groupe B mis sous GPD. Les cures sont administrées tous les 28 jours. A la fin de troisième cure la réponse a été évaluée dans les deux groupes de malades. Les résultats sont les suivants : Les types histologiques rencontrés sont (centroblastique : 61% v 58% immunoblastique : 14% v 12% anaplasique : 4% v 6% grandes cellules : 17% v 18% et lymphoblastique : 4% v 6%. Les taux de RG sont : 62.5% dans le groupe B v 54.5% dans le groupe A p<0.01. Les taux de survie à 3 ans sont : 58% dans le groupe B v 48% dans le groupe A p< 0.025. La toxicité grade 3-4 constaté est une leuconeutropenie sévère dans le groupe A (63%) responsable de décès par septicémie et une thrombopénie grade 3-4 (41%) dans le groupe BEn conclusion : le protocole GPD est une bonne combinaison de chimiothérapie de sauvetage pour les formes de mauvais pronostic en échec ou en progression de LNH à grandes cellules .il y'a une action clinique significative et une toxicité acceptable.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversity of Tlemcen-
dc.subjectlymphomeen_US
dc.subjectrechuteen_US
dc.subjectréfractaireen_US
dc.subjectgemcitabineen_US
dc.titleTraitement des lymphomes à grandes cellules ayant échappé au CHOP (cyclophosphamide, adriomycine, vincristine, prednisone) ou rechuté après rémissionen_US
dc.typeThesisen_US
Collection(s) :Thèse Médecine

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