Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : http://dspace1.univ-tlemcen.dz/handle/112/23941
Affichage complet
Élément Dublin CoreValeurLangue
dc.contributor.authorKADA BENIKHLEF, AMANI-
dc.contributor.authorKAMRAOUI, BOUCHRA-
dc.date.accessioned2024-12-19T13:03:01Z-
dc.date.available2024-12-19T13:03:01Z-
dc.date.issued2024-
dc.identifier.urihttp://dspace1.univ-tlemcen.dz/handle/112/23941-
dc.description.abstractNotre étude vise à étudier la situation épidémiologique, diagnostic et thérapeutique de la grossesse extra-utérine (GEU). L'étude a été menée au niveau du le service de gynécologie obstétrique de l’EPH Béni Saf Ain Témouchent, pendant une période de 10 ans allant du janvier 2015 au mars 2024. A travers une étude rétrospective portant sur 58 cas de la GEU nous avons conclu que : - Le nombre de patients hospitalisés pour une grossesse extra utérine dans notre service, durant ces 10 ans, varié d’une année à l’autre. Un pic de 14 cas est noté en 2015 et une moyenne annuelle estimée à 06 cas/an - La moyenne d’âge dans notre série est de 31 ans, avec des extrêmes allant de 21 ans à 45 ans. La tranche d’âge la plus représentée est celle comprise entre 35 et 40 ans. - La GEU reste toujours associée à une faible parité. - Les pauci gestes étaient les plus atteintes par la GEU - Les facteurs de risque fréquemment retrouvés sont : contraception orale 25 %, la contraception orale 25 %, les infection génitale 14% le DIU 9 %, les ATCD de GEU 5 % et infertilité 2 % des cas. - Cliniquement la triade : d’aménorrhée (100%), douleur pelviennes (96%) et métrorragies (79%) étaient les principaux signes d’appel de la GEU. - L’échographie pelvienne reste l’examen paraclinique de première intention en cas de suspicion de GEU surtout lorsqu’elle est couplée au dosage de béta HCG plasmatiques. - La localisation à droite a été la plus fréquente d’un taux de 74 %, contre 26 % à gauche. - L’implantation tubulaire a été la plus fréquente chez 86 % des cas, contre 7 % cervicales, 5 % ovarienne, 2 % abdominal. - Toutes les patientes ont été bénéficié d’un traitement chirurgical, car le traitement médical n’a pas utilisé par manque de méthotrexate dans notre service - Le traitement chirurgical radical reste le traitement le plus fréquemment pratiqué dans 55 % des cas, le traitement conservateur n’a été pratiqué que dans 33% des cas. - L’issue de cette pathologie est favorable dans la majorité des cas si le diagnostic est précoce avec prise en charge adéquate. Cependant, la GEU reste un problème de santé publique pour diminuer la prévalence de cette pathologie, nous proposons : - La mise en place de mesures de prévention accrues repose principalement sur la lutte contre les avortements et les infections. - Il est crucial d'informer et d'éduquer la population pour une consultation précoce afin d'éviter tout retard de diagnostic qui pourrait entraîner la mort de la mère. - Amélioration des infrastructures sanitaires en mettant à disposition les moyens indispensables pour le diagnostic dans les centres de santé, et intégration systématique de l'échographie dans le diagnostic précoce. - Le développement et la diffusion de la coelio-chirurgie ont permis d'obtenir des résultats satisfaisants dans le diagnostic et le traitement des grossesses extra-utérine. - Il est essentiel de fournir une assistance psychologique aux femmes qui présentent une hypofertilité ou qui souhaitent avoir des enfants.en_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversity of Tlemcenen_US
dc.titleLa grossesse extra utérine (GEU)en_US
dc.typeThesisen_US
Collection(s) :Rapport du Stage Médecine

Fichier(s) constituant ce document :
Fichier Description TailleFormat 
La-grossesse-extra-uterine-GEU.pdf5,75 MBAdobe PDFVoir/Ouvrir


Tous les documents dans DSpace sont protégés par copyright, avec tous droits réservés.