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dc.contributor.authorBENHALIMA, Yacine-
dc.date.accessioned2024-07-14T10:05:46Z-
dc.date.available2024-07-14T10:05:46Z-
dc.date.issued2024-07-14-
dc.identifier.urihttp://dspace1.univ-tlemcen.dz/handle/112/22891-
dc.description.abstractLa sensibilité accrue du chêne liège au feu a été étayée par des tests d’inflammabilité en laboratoire. Des échantillons (de liège mâle et de reproduction) représentatifs du massif forestier Hafir-Zariffet ont été soumis à un flux thermique contrôlé par épiradiateur, analogue à un feu de faible et de moyenne intensité. Les résultats du test définissent l’embrasement de l’écorce externe comme une opération très compliquée, où s’interfèrent deux couches morphologiquement et physiologiquement distinctes. La première ligneuse, comprenant la croûte, accomplie couramment les quatre paramètres d’inflammabilité, à l’égard des autres végétaux. Une ignition courte de la flamme (IF: 37,16s-liège mâle ; 39,87s-liège de reproduction) et une consumabilité totale (RMF, 0% liège mâle; 0%-liège de reproduction). Le rayonnement thermique de la croûte se propage ensuite par conduction au niveau de la deuxième couche non ligneuse, qui est le liège. Il s’est révélé, une inflammabilité lente du suber par rapport au autres combustible forestier ( des temsp d’ignition lents >60s et une faible consumabilité (RMF :47,10% -liège mâle et 32,12%-liège de reproduction). L’analyse thermogravitrique a montré que la dégradation thermochimique du liège est fortement imputée à son son épaisseur et à son taux de suberine. Celle ci, commence sa désagrégation à des temperatures léthales >200°C. Il s’agit bien d’une carbonisation lente du liège et non d’une simple infalammabilité. Cette majeure constatation a été renforcée sur le terrain sur 850 arbres résiduels de l’incendie de 2005, avec un délai de résilience de 15 années (2005- 2020). Des taux de carbonisation allant de 16,18% à 11,52% (arbres exploités et non exploités) sont associées aux sujets récupérables, vigoureux sans stratégie de résilience. Une forte carbonisation du liège variant de 42,38% à 34,95%, est synonymes d’arbre dépérissante et irrécupérables à cause des dommages perpétrés sur le tronc et le houppier, la régénération se produit dans le houppier, à la base ou mixte. Une très forte carbonisation du liège (75,95% à 71,42%) est susceptibles de disloquer complètement le lien entre les racines de l'arbre et la cime, provoquant la mortalité de la tige principale et une régénération uniquement par souche. Les variables de croissance et de qualité du liège ont été aussi validés selon l’état de résiliences des arbres résiduels. Une résilience du premier degré est similaire d’une bonne activité méristématique du cambium et des arbres récupérables induisant une croissance subéreuse annuelle normale (2,02 mm/an), bien corrélée à une densité volumétrique (283,55 kg/m3 ) et à un bon indice de qualité ( 8,56). La meilleure gstion des peuplemenst résilients est l’étalement du durée de cycle de production, et la récolte du liège en mode irrégulie, en plus du recépages des arbres morts ur pieden_US
dc.language.isofren_US
dc.publisheruniversity of Tlemcenen_US
dc.subjectLiège, carbonisation, Hafir- Zarieffet, incendie, résilience, ACMen_US
dc.titleAnalysis of the effect of cork carbonization on the resilience of cork groves in the Tlemcen regionen_US
dc.typeThesisen_US
Collection(s) :Doctorat en foresterie

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