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dc.contributor.authorFRID Imene, FERH Chaimaa-
dc.date.accessioned2024-03-26T10:51:47Z-
dc.date.available2024-03-26T10:51:47Z-
dc.date.issued2024-03-26-
dc.identifier.urihttp://dspace1.univ-tlemcen.dz/handle/112/22124-
dc.description.abstractles résultats de cette étude montrent que le syndrome ovarien polykystique touche environ 12.81% d’étudiantes de l’Université de Tlemcen. On a noté les hauts pourcentages dans les facultés SNV-STU (25.34%), lettres et des langues (19.86%) et la faculté de Médecine (15.02%). La plupart des sujets SOPK était en état de surpoids avec un pourcentage de 43,83%. De plus, on a noté que la plupart des sujets SOPK présentent des cycles irréguliers et des signes d’hyperandrogénie notamment l’acné et l’hirsutisme. Bien qu’il n’y ait pas de remède pour le SOPK, les traitements peuvent aider à réduire les symptômes et à améliorer la fertilité. Les modifications de l’alimentation et du mode de vie et la prise en charge nutritionnelle peuvent égalent avoir un effet positif sur cette affection. Dans ce travail, on a noté que la majorité des étudiantes SOPK suivent des régimes riches en fritures, sucrerie et pauvre en poisson qui sont riche en acides gras polyinsaturés essentiels. Mots clés : Syndrome des ovaires polykystiques, Prévalence, Symptômesen_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversity of Tlemcenen_US
dc.subjectSyndrome des ovaires polykystiques, Prévalence, Symptômes, Habitudes alimentaires.en_US
dc.titleProfil Nutritionnel et Prévalence du Syndrome Ovarien Polykystiques chez les étudiantes de l'Université de Tlemcenen_US
dc.typeThesisen_US
Collection(s) :Master en Biologie

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