Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : http://dspace1.univ-tlemcen.dz/handle/112/21050
Affichage complet
Élément Dublin CoreValeurLangue
dc.contributor.authorBOUALI, Seif eddine-
dc.contributor.authorBOUGHALEM, Yousra-
dc.contributor.authorBOUAZZA ABID, Souad-
dc.date.accessioned2023-12-13T20:38:01Z-
dc.date.available2023-12-13T20:38:01Z-
dc.date.issued2023-
dc.identifier.urihttp://dspace1.univ-tlemcen.dz/handle/112/21050-
dc.description.abstractDevant un enfant présentant un retard statural avec vitesse de croissance anormale, le pédiatre ou l’endocrinologue pédiatre sont amenés à se poser la question d’un déficit en hormone de croissance, qui est importante à reconnaître car elle conduit à un traitement spécifique. Cette étiologie est loin d’être la plus fréquente ; ses causes sont multiples et leurs présentations cliniques sont variables. Le diagnostic du GHD est fait par l’ensemble des données auxologiques, cliniques, génétiques, radiologiques, métaboliques et hormonales. Une évaluation fine est effectuée selon les paramètres de croissance (taille inférieure à - 2DS, vitesse de croissance inférieure à - 1DS,…..), l’examen clinique et des données radiologiques (évaluation de la maturation osseuse par une radiographie du poignet et de la main gauche), et finalement par la détermination du taux d’IGF-1 et des tests de stimulation de la GH. Malgré un tableau clinique très évocateur, le diagnostic du GHD reste très tardif, il est évoqué sur un faisceau d’arguments anamnestiques, cliniques et paracliniques, le diagnostic de certitude repose sur l’absence de réponse de GH à deux tests de stimulation. Les tests de stimulation ont entraîné la nécessité de définir des valeurs seuils définissant la réponse anormale. La réponse de la GH aux divers stimuli varie avec la méthode, le sexe, l’âge et le développement pubertaire, ainsi que la puissance du test. La valeur seuil reste donc arbitraire. La décision de traiter devrait donc toujours dépendre du contexte clinique. Compte tenu des résultats, bien que le test d’insuline ait le potentiel d’évoquer l’hypoglycémie, nous suggérons d’effectuer le test de stimulation de l’insuline d’abord pour écarter ISS (avec une surveillance étroite pour les symptômes hypoglycémiques) puis le test L-dopa pour les autres patients pour confirmer le GHD. Ceci est rentable parce que le diagnostic de l’ISS peut être fait peu après un seul test. En outre, le fardeau de faire deux tests en série est réduit. On peut aussi proposer des consultations précises et par clinicien qualifies pour éliminer précocement les maladies génétiquesen_US
dc.language.isofren_US
dc.publisherUniversity Of Tlemcenen_US
dc.titleLA PERTINANCE DU TEST DE STIMULATION DE GH PAR L’INSULINEen_US
dc.typeThesisen_US
Collection(s) :Rapport du Stage Médecine

Fichier(s) constituant ce document :
Fichier Description TailleFormat 
LA-PERTINANCE-DU-TEST-DE-STIMULATION-DE-GH-PAR-L-INSULINE.pdf2,98 MBAdobe PDFVoir/Ouvrir


Tous les documents dans DSpace sont protégés par copyright, avec tous droits réservés.