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dc.contributor.authorbenyagoub, sara-
dc.contributor.authorbrahmi, sarra-
dc.contributor.authordjebbour, radjaa-
dc.contributor.authorfasla, selma-
dc.date.accessioned2023-06-11T10:32:14Z-
dc.date.available2023-06-11T10:32:14Z-
dc.date.issued2022-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-tlemcen.dz/handle/112/20747-
dc.description.abstractLa pancréatite aigue est une urgence médico-chirurgicale peu fréquente. Le diagnostic repose sur les signes cliniques dont le plus constant est la douleur abdominale d’installation brutale associée à une élévation de la lipasémie de plus de trois fois à la normale et des signes d’atteinte pancréatique à l’imagerie notamment à la tomodensitométrie, la TDM ne doit être demandée que 72 heures après le début de la crise. Elle constitue l’exploration fondamentale dans le bilan des pancréatites aigues et présente quartes principaux intérêts :  Diagnostic positif et stadification de la pancréatite par l’analyse du pancréas et des espaces péri-pancréatiques, ainsi que du reste de la cavité péritonéale et pelvienne, avec stadification de la pancréatite aigue (Classification de BALTHAZAR modifié).  Diagnostic étiologique : en dépistant une lithiase de la voie biliaire principale ou des signes orientant vers une étiologie alcoolique.  Evaluation du pronostic : par un score bioclinique et scannographique.  La surveillance évolutive et le scanno-guidage à la recherche de complications ainsi que leur traitement radiologique interventionnel. La pancréatite aigue d’origine biliaire reste relativement fréquente et atteint surtout la femme, la consommation d’alcool est l’un des facteurs de risque rencontré également. Prédire la sévérité par des scores spécifiques et généralistes était difficile du fait des faibles taux de réalisation des examens paracliniques. Sa prise en charge nécessite une structure multidisciplinaire. On distingue deux formes:  La pancréatite aigüe oedémateuse : forme bénigne, dont l’évolution est généralement favorable.  La pancréatite aigue nécrotico-hémorragique : qui est la forme la plus grave dont l’évolution peut se faire vers des complications parfois mortelles. Le traitement est d’abord médical et vise à prévenir et à traiter les complications systémiques telles que les défaillances viscérales. Cette pathologie peut simuler d’autres urgences abdominales entrainant à tort le recours à la laparotomie qui ne devrait être institué qu’en cas de complications locales pancréatiques. Le faible plateau technique disponible dans nos conditions de travail est un handicap important pour le diagnostic et la prise en charge qui se fait tardivement à cause du retard de consultation. Des actions devraient être menées pour permettre un meilleur diagnostic et une prise en charge adéquate de cette pathologie dont la morbi-mortalité reste élevée.en_US
dc.language.isofren_US
dc.titlela prise en charge de la pancréatite aigüe au niveau du service de la chirurgie générale A et la transplantation rénale CHU Dr.Tidjanien_US
dc.typeThesisen_US
Collection(s) :Rapport du Stage Médecine



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