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dc.contributor.authorAZZI, Rachid-
dc.date.accessioned2013-06-11T14:35:21Z-
dc.date.available2013-06-11T14:35:21Z-
dc.date.issued2013-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-tlemcen.dz/handle/112/2035-
dc.description.abstractUne enquête ethnopharmacologique réalisée auprès de 470 sujets diabétiques de quatre wilayas de l’Ouest algérien, a permis d’enregistrer une fréquence d’utilisation de 28,30% et de recenser 60 plantes médicinales utilisées pour le traitement de diabète sucré. Parmi ces plantes, les figues sèches (Ficus carica) et les graines de coloquinte (Citrullus colocynthis), ont été sélectionnées pour des analyses phytochimiques et pharmacotoxicologiques chez le rat Wistar. L’analyse phytochimique a révélé la présence de saponines, d’alcaloïdes, de flavonoïdes, de coumarines, de stéroïdes, de triterpènes et surtout de sucres réducteurs dans les extraits des figues (Ficus carica). Tandis que, l’analyse phytochimique des extraits des graines de coloquinte a montré la présence d’alcaloïdes, de saponines, de glycosides, de flavonoïdes et de tanins. L’analyse de l’effet antidiabétique des extraits des figues a montré une augmentation de la glycémie, une heure après l’administration de 0,95 mg/kg p.c d’extrait brut aqueux par voie intrapéritonéale ou de 10g/kg p.c de jus de fruit, par voie intra gastrique, chez les rats normaux et rats rendus diabétiques par la Streptozotocine (STZ). Cet état d’hyperglycémie est rapidement corrigé à court terme après 3h et atteint des valeurs normales à moyen terme durant 15 jours. La coloquinte est une plante reconnue comme toxique. L’étude de la toxicité aiguë de trois extraits des graines de cette plante a permis de déterminer une DL50 de 698mg/kg p.c pour les alcaloïdes totaux et une DL50 de 166mg/kg et 113 mg/kg pour l’extrait éthanolique et chloroformique des glycosides cucurbitacines respectivement. Avec une perturbation de certains paramètres métaboliques sériques, hépatiques (TGO, TGP et phosphatase alcaline) et rénales (créatinine). Par ailleurs, l’injection intrapéritonéale de 60mg/kg p.c d’alcaloïdes totaux ou 20mg/kgp.c des glycosides cucurbitacines, chez les rats normaux et rats diabétiques, ont montré un effet antihyperglycémiant. Ils diminuaient l’hyperglycémie de 42% et 32%, respectivement, après 3h. Cette diminution persiste une semaine chez les rats diabétiques traités par les alcaloïdes et 2 semaines chez les rats diabétiques traités par les glycosides éthanoliques. De même, ces deux extraits ont montré la capacité de corriger l’hyperglycémie provoquée par voie orale (HGPO) chez les rats normaux. Toutefois, des doses plus élevées (>100mg/kg p.c) d’extrait des glycosides cucurbitacines des graines de coloquinte provoquent un état hypoglycémie sévère.en_US
dc.language.isofren_US
dc.subjectDiabètes sucréen_US
dc.subjectethnopharmacologieen_US
dc.subjectplantes antidiabétiquesen_US
dc.subjectCitrullus colocynthisen_US
dc.subjectFicus caricaen_US
dc.subjectphytochimieen_US
dc.subjecttoxicité aiguëen_US
dc.subjectStreptozotocineen_US
dc.titleContribution à l’étude de plantes médicinales utilisées dans le traitement traditionnel du diabète sucré dans l’Ouest algérien : enquête ethnopharmacologique ; Analyse pharmaco-toxicologique de Figuier (Ficus carica) et de coloquinte (Citrullus colocynthis) chez le rat Wistar.en_US
dc.typeThesisen_US
Collection(s) :Doctorat en Biologie

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