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Élément Dublin CoreValeurLangue
dc.contributor.authorsari hassoun, yassine-
dc.date.accessioned2020-12-09T11:54:45Z-
dc.date.available2020-12-09T11:54:45Z-
dc.date.issued2019-10-24-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-tlemcen.dz/handle/112/15891-
dc.description.abstractLes troubles du sommeil sont fréquents dans les pathologies neurodégénératives et en particulier dans la maladie de Parkinson (MP). Leur fréquence augmentent au cours de la maladie et la progression de l’invalidité. Ces derniers sont nombreux, multifactoriels et confèrent un impact négatif significatif sur la qualité de vie des patients et leurs entourage. La compréhension et la sensibilisation à ces troubles du sommeil ont considérablement avancés depuis ce temps, mais sont loin d'être complètes. Objectif : Décrire les troubles du sommeil dans une cohorte de patients atteints de la maladie de Parkinson idiopathique. Patients et méthodes : Nous avons mené une étude prospective dans le service de neurologie du CHU de Tlemcen entre septembre 2018 et juin 2019. Tous patients accueillis en consultation présentant une MP idiopahique ont été inclus. Ont été analysés : les données démographiques, anamnestique et cliniques comprenant l’évaluation de la gravité de la MP selon le score de Hoehn et Yahr, l’analyse des troubles du sommeil, les modalités thérapeutiques et l'observance. Le recueil des données a été fait sur une fiche d’exploitation préétablie et l'étude statistique selon SPSS. Résultats : Nous avons recensé 29 patients avec un âge médian de 68.9 ans (51- 88 ans) et un sexe ratio H/F de 1,08. 89,6%avaient une MP légère à modérée selon le score de Hoehn et Yahr ; 3 patients présentaient un handicap sévère (stade 4). Le délai d’apparition des troubles du sommeil par rapport à l’évolution de la maladie de parkinson variait de 6 mois à 10 ans avec une médiane de 2 ans. Sur le plan clinique, l’insomnie était présente chez 62% des patients parkinsoniens. Les TCSP ont été évoqués chez 2 patients. Le SAS a été suspectait cliniquement dans 10% des cas. Au cours de la journée, l’état de vigilance diurne évalué selon l’échelle d’Epworth, retrouvait 12 patients avec un déficit de sommeil (score entre 9 et 14) et 3 patients se plaignaient d'une hypersomnolance diurne (score supérieur à 15). Conclusion : La première des plaintes des patients parkinsoniens est les troubles du sommeil. Ceux-ci se manifestent sous différentes formes, à la fois la nuit et la journée. Notre étude souligne l'importance de les reconnaître et de les traiter puisqu’ils constituent une importante source de dégradation de la qualité de vie des patients parkinsoniens.en_US
dc.language.isofren_US
dc.titletroubles du sommeil dans la maladie de parkinson : experience du CHU Tlemcenen_US
dc.typeThesisen_US
Collection(s) :Rapport du Stage Pharmacie

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