Veuillez utiliser cette adresse pour citer ce document : http://dspace1.univ-tlemcen.dz/handle/112/12466
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Élément Dublin CoreValeurLangue
dc.contributor.authorSARI, Djennat-
dc.date.accessioned2018-01-24T10:37:50Z-
dc.date.available2018-01-24T10:37:50Z-
dc.date.issued2016-10-17-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-tlemcen.dz/handle/112/12466-
dc.description.abstractL’amélioration des conditions générales de vie et les influences provenant des médias ont entraîné une plus grande sensibilisation de la part de très nombreuses personnes envers tout ce qui concerne les aspects esthétiques et en particulier la cosmétologie du sourire. Le traitement d’éclaircissement reste un traitement médical qui requiert des connaissances scientifiques et techniques en ce qui concerne les modalités de traitement, la maîtrise des effets indésirables et des précautions particulières. Les techniques scientifiques sont dorénavant plus orientées vers des protocoles standardisés. Toutefois, la logique serait de s'attarder sur le rapport bénéfice-risque de l'emploi de produits de plus en plus concentrés, et ce parfois, au détriment de l’intégrité des tissus dentaires. Les indications pour une utilisation appropriée des méthodes et produits d’éclaircissement dentaire sont dépendants d’un diagnostic correct des dyschromies. Actuellement, les données scientifiques s’accordent à dire que les techniques ambulatoires utilisant des agents éclaircissants faiblement concentrés à base de péroxyde d’hydrogène a une concentration de 3,5 à 9,5% sont prédictibles, fiables et sans aucun risque apparent ; celles immédiates au fauteuil, séduisantes par leur efficacité et leur rapidité, sont plus agressives par leurs effets secondaires immédiats. La tendance est vers un éclaircissement par bande appliqué deux fois par jour pendant 2h, ce système donne des meilleurs résultats stables à long terme et évite les sensibilités post opératoires que l'on retrouve avec des traitements aux fauteuils. Enfin, il apparaît au regard de la littérature et des données actuelles que le contrôle du professionnel de santé reste indispensable ; les traitements devraient donc impérativement être supervisés par un praticien, capable de confirmer l’indication, préparer les dents au traitement, contrôler les effets secondaires et choisir la méthode et les produits adéquats, toute en informant les patients des possibilités et des limites de ces techniques.en_US
dc.language.isofren_US
dc.titleTRAITEMENT CHIMIQUE DES DYSCHROMIES DENTAIRES REVUE DE LA LITTERATUREen_US
dc.typeThesisen_US
Collection(s) :Rapport du Stage Médecine Dentaire

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