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dc.contributor.authorMahmoudi, Asma-
dc.contributor.authorBoudida, Yacine-
dc.date.accessioned2017-11-12T10:25:09Z-
dc.date.available2017-11-12T10:25:09Z-
dc.date.issued2017-
dc.identifier.urihttp://dspace.univ-tlemcen.dz/handle/112/11313-
dc.description.abstractL’érysipèle est une dermo-hypodermite aigue d’origine bactérienne essentiellement due au streptocoque β hémolytique du groupe A. Il constitue un véritable problème de santé publique. Nous avons réalisé une étude rétrospective qui a permis l’analyse de 24 cas d’érysipèle colligés au service de Dermatologie de l’hôpital Tidjani Damerdji de Tlemcen du 1er Janvier 2016 au 31 Décembre 2016. Le but de ce travail est d’étudier le profil épidémiologique, clinique et évolutif, et éclaircir les modalités de prise en charge dans notre pays, en comparant notre série à celles déjà publiées et en prenant en compte les recommandations de la dernière conférence consensus. L’incidence annuelle est de 24 cas, et la distribution saisonnière montre une prédominance estivo-automnale. C’est une pathologie de l’adulte, d’âge moyen de 50,89, avec une légère prédominance féminine dont le sex ratio (H/F) est de 0,71. Les facteurs prédisposants généraux et locorégionaux ainsi qu’une porte d’entrée sont souvent retrouvés. La localisation principale reste les membres inférieurs avec un pourcentage de 96%, la face n’est pas touchée ce qui confirme la quasi-disparition de l’érysipèle de la face. Le diagnostic a été basé sur les éléments anamnestiques et cliniques. Les céphalosporines étaient l’antibiothérapie la plus utilisée en première intension soit 46% des cas, tandis que la pénicillinothérapie G intraveineuse représente 42% des cas. Tous les patients ont répondu correctement au traitement utilisé. Une antibioprophylaxie au long cours a été prescrite chez certains patients. La complication la plus fréquente reste la récidive avec un pourcentage de 13% dans notre série. Cette récidive semble directement liée aux facteurs prédisposant et la négligence de la porte d’entrée. Il s’agit donc d’une affection dont le pronostic immédiat reste satisfaisant, mais la tendance à récidiver joue un rôle important de premier plan dans la morbidité imputable de cette affection ce qui conduit à un regain d’intérêt pour cette pathologie.en_US
dc.language.isofren_US
dc.titlePrise en charge de l’érysipèle au service de Dermatologie CHU Tlemcen (à propos de 24 cas)en_US
dc.typeThesisen_US
Collection(s) :Rapport du Stage Médecine

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Prise-en-charge-de-lerysipele-au-service-de-Dermatologie-CHU-Tlemcen.pdf1,45 MBAdobe PDFVoir/Ouvrir


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