Belharizi, AhlemTaouli, SofianeLegaid, Sara2014-05-072014-05-072012https://dspace.univ-tlemcen.dz/handle/112/4943Surveillance et dépistage précoce des lésions Quelque soient le type et la sévérité apparente du diabète * Un dosage annuel de la microalbuminurie, ou de la protéinurie, et de la créatinémie est nécessaire et les résultats doivent être interprétés en fonction de certaines Co-morbidités (HTA). - L'atteinte rénale doit être prise en charge dès le stade de la microalbuminurie par des mesures diététiques et médicamenteuses. - À partir d'une clairance de la créatinine inférieure à 60 ml/mn/m2, une adaptation du traitement antidiabétique est nécessaire. - Au stade d'insuffisance rénale terminale, l'âge lui-même n'est pas une contreindication à la dialyse, mais les Co-morbidités peuvent en modifier l'indication et la modalité. * La rétinopathie diabétique est fréquente et très souvent associée à d'autres pathologies oculaires, majorant ainsi la perte d'autonomie. - Sa complication la plus fréquente est l'oedème maculaire. - Le rythme de surveillance ophtalmologique des diabétiques dépend de la sévérité de la Rb. En dehors de certaines circonstances particulières qui vont être développées, les règles de surveillance sont les suivantes. - En l'absence de Rb: surveillance annuelle du F0; - bNP minime: F0 ± angiographie annuels; - RbNP modérée: F0 et angiographie tous les 6 mois à 1 an, fonction de la maculopathie associée; - RbNP sévère (ou préproliféronte):- L'ophtalmologiste doit être informé de l'existence de troubles cognitifs et de la totalité des médicaments pris: la présence de l'aidant est indispensable. - La rétinopothie diabétique est presque vaincue dans les pays médicalisés, les formes sévères et les cécités sont en voie de disparition; leurs survenues ne peuvent guère être que la conséquence de fautes grossières de surveillance dont la responsabilité incombe soit au patient, soit au médecin, soit aux deux.frla nephropathie et la retinopathie diabetiqueThesis