Hamli ,Meryem2025-12-172025-12-172018-06-25https://dspace.univ-tlemcen.dz/handle/112/25440Les raies d’émission de l’ion de fer Fe12+ dans le domaine de l’extrême ultra-violet sont fréquemment utilisées dans les diagnostics spectroscopiques des plasmas chauds de l’univers afin de déterminer la densité Ne des électrons. Nous avons étudié les variations du rapport d’émissivité R des raies associées aux transitions 3s2 3p3d 3 P1 3s2 3p2 3 P0 à 202.0 Å et 3s2 3p3d 3D2,3 3s2 3p2 3 P2 à 203.8 Å en fonction de Ne allant de 108 jusqu’à 1011 cm3 . Pour cela, nous avons évalué les populations des niveaux supérieurs de ces raies en utilisant un modèle qui tient compte des processus d’excitations et désexcitations collisionnelles ainsi que des désexcitations radiatives spontanées entre les 27 premiers niveaux de structure fine de l’ion Fe12+. Le code informatique ‘‘Flexible Atomic Code’’ a été exécuté pour obtenir toutes les données atomiques nécessaires dans les calculs du rapport R. Les résultats de nos calculs de R ont été mis en pratique pour déduire la densité Ne de régions actives solaires à partir de spectres de haute résolution observés à l’aide de spectromètres embarqués sur une fusée et un satellite.frplasmas chaudsprocessus atomiquesintensités relatives de raiesmodèle collisionnel-radiatifdiagnostic spectroscopique.Diagnostic en densité des régions actives solaires basé sur les raies d’émission EUV de l’ion Fe12+Thesis