Benabdallah, Zineb RabebAhmed Dada, Nadjet2014-10-292014-10-292014https://dspace.univ-tlemcen.dz/handle/112/6595Les lésions du rachis dorso-lombaire, à l'inverse de celles du rachis cervical, ne posent guère de problème de diagnostic. Les fractures insidieuses - fractures isolées des massifs articulaires - sont exceptionnelles. La prépondérance des lésions corporéales est telle que le risque majeur est de méconnaître et de sous-estimer les lésions associées de l'arc vertébral postérieur. Les lésions dorsales et lombaires ne sont pas univoques. Les premières sont généralement stables, car maintenues par la cage thoracique. Leurs complications neurologiques - risque médullaire - sont gravissimes. Les secondes, plus volontiers instables, sont à l'origine de troubles de la statique vertébrale. Leurs complications neurologiques - risque radiculaire - sont moindres. Quant aux lésions de la charnière dorso-lombaire, de loin les plus fréquentes, elles empruntent aux unes et aux autres les caractéristiques les plus fâcheuses. C'est dire leur hétérogénéité, leur ambiguïté et leur gravitéfrThesis