Aggoun, Nor El HoudaBaghli, WafaaTir, AbdellatifKhaldi, Nabil2014-01-192014-01-192012https://dspace.univ-tlemcen.dz/handle/112/3396» La GEU reste une pathologie assez fréquente, elle touche femmes jeunes en période d'activité génitale. Le diagnostic repose sur le triptyque clinique-biologie-échographie. > Les signes amenant à consulter le plus souvent sont les douleurs et métrorragies. Les facteurs de risques ont ceux des salpingites et des anomalies hormonales spontanées ou iatrogènes. > En cas de vacuité utérine associée à un taux de Beta-HCG > 1500 UI/l, la probabilité de GEU est importante. > Le traitement est avant tout chirurgical par coelioscopie. » Dans des formes précoces, on peut envisager un traitement par Méthotrexate sous conditions d'une surveillance prolongée du taux de 3-hCG.fruterinegrossesseGrossesse extra-uterineThesis